La course à la décarbonation du transport maritime est lancée, dans un secteur où il demeure particulièrement difficile de réduire les émissions polluantes.
À tout moment, plus de 50 000 navires de transport sillonnent les mers, générant près de 3 pour cent des émissions mondiales de gaz à effet de serre.
Ce chiffre dépasse même celui de laviation, témoignant dune nécessité urgente de réformer lindustrie.
Sur le long terme, les acteurs du secteur misent sur des carburants durables, des piles à hydrogène et le développement de batteries suffisamment puissantes pour alimenter ces géants des océans.
Cependant, une entreprise affirme disposer dune solution à court terme capable de diminuer dès à présent les émissions polluantes.
Pour la Bourse de Casablanca, la transition vers des modes de transport maritime plus propres est doublement stratégique.
Dune part, elle ouvre la voie à des opportunités dinvestissement dans les sociétés actives dans la décarbonation et les énergies renouvelables, secteurs déjà présents sur la place financière marocaine.
Dautre part, les entreprises marocaines exportatrices, notamment celles du secteur agroalimentaire, du textile ou de lindustrie chimique, pourraient anticiper de nouvelles normes environnementales en Europe et améliorer ainsi leur compétitivité à linternational.
Si les acteurs cotés sengagent dans lintégration de ces solutions innovantes, cela pourrait attirer lattention des investisseurs soucieux des critères ESG et dynamiser la valorisation boursière liée à la durabilité et à la transition énergétique.
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