Lors de son long discours devant lAssemblée générale des Nations Unies mardi, le président Donald Trump a vivement critiqué les initiatives liées au changement climatique ainsi que le développement des énergies propres.
Il a remis en cause le consensus scientifique sur cette question ainsi que la viabilité économique des programmes en faveur de lénergie propre.
Ce discours marque lun de ses refus les plus affirmés des politiques climatiques depuis son retour à la présidence.
Selon lui, de nombreuses prévisions établies par lONU et dautres organismes internationaux sont erronées et exagérées.
Limpact de ces déclarations sur les marchés boursiers internationaux, y compris à la Bourse de Casablanca, reste complexe.
Les sociétés marocaines impliquées dans les énergies renouvelables ou dépendant des investissements étrangers dans ce secteur pourraient voir la confiance des investisseurs affectée à court terme.
Ce scepticisme affiché de la part dune puissance mondiale pourrait ralentir certains projets et crisper lintérêt des fonds internationaux à légard des valeurs vertes cotées à Casablanca.
Toutefois, la tendance mondiale vers une économie décarbonée demeure forte et la place casablancaise, déjà engagée dans un processus de transition énergétique, pourrait profiter à long terme de la diversité de ses partenaires et de ses ressources naturelles.
Les investisseurs surveilleront de près la réaction des marchés mondiaux pour ajuster leur stratégie face à ce type de discours politique qui influence souvent les flux de capitaux et le sentiment des marchés.
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