Par contre, explique l’expert, il existe certains réseaux qui sont beaucoup plus maillés que d’autres. C’est, d’ailleurs, le cas de l’Espagne et de la France. Et pourtant, «cela ne les a pas épargnés de l’incident survenu», nuance Bennouna. La panne ayant touché l’Espagne est due, selon lui, à une fluctuation de l’offre et de la demande. «C’est qu’on appelle l’intermittence. D’ailleurs, l’on parle très souvent de la problématique de l’intermittence de l’offre électrique d’origine solaire ou éolienne, mais l’on n’évoque jamais l’intermittence de la demande.
Il arrive, en effet, que celle-ci fasse l’objet d’une forte variation. C’est ce qui s’est produit dans le cas de l’Espagne où la demande s’est brutalement effondrée, passant de 25.000 mégawatts à 12.000 mégawatts (MW), en quelques secondes près», explique notre interlocuteur qui soutient que face à ce genre de problème, aucun pays n’a la capacité d’apporter la solution adéquate dans un laps de temps très court. «Tous les réseaux électriques ont les mêmes vulnérabilités lorsqu’il s’agit d’une singularité liée à la variation de la demande comme celle survenue en Espagne. Le fait est que l’on ne sait pas réagir à ce genre d’incident que ce soit en Espagne, en France ou en Allemagne. Une baisse brutale – de plus de moitié – de la demande, avec ce que cela implique comme perturbations du réseau est un risque auxquels tous les pays sont exposés y compris le Maroc», détaille l’expert. Ceci étant, poursuit-il, «je dois vous préciser que certains pays sont plus disposés à réagir à de tels incidents quand ces derniers ne sont pas de la taille de celui survenu dans notre voisin du Nord». En effet, pour de petites variations de l’offre et de la demande en électricité, des pays ont la capacité d’apporter les solutions adéquates.
Évoquant le Maroc, Bennouna assure que le Royaume a la capacité de réagir à des incidents de grande ampleur, certes, mais pas à ceux du niveau de la panne arrivée en Espagne. Car, là, il s’agit, à ses yeux, d’une grande catastrophe à laquelle il est quasiment difficile de faire face sans passer par une coupure générale de l’électricité. «Une puissance électrique demandée par le réseau électrique qui se divise par 2, en quelques secondes, est tout simplement une problématique qu’aucun pays ne pourra résoudre rapidement et avec l’efficacité nécessaire», martèle l’expert.
Bennouna souligne, en revanche, que le Maroc a la capacité de répondre à des problèmes de fortes fluctuations et de façon régulière. «Le réseau électrique en tant que tel est protégé contre des augmentations de l’offre. La baisse de la demande, quant à elle, ne met pas réellement en danger le réseau lui-même», fait-il observer.
L’expert souligne, en outre, que l’incident arrivé en Espagne est un peu particulier. «Les investigations menées par nos voisins de la péninsule ibérique se concentrent sur la question de savoir comment cette baisse drastique de la demande d’électricité a pu survenir. Personnellement, au début, je penchais pour un système malveillant qui aurait trompé l’informatique espagnole, autrement dit une cyber-attaque. Mais les récentes données infirment une telle piste», affirme Bennouna qui rappelle au passage qu’un réseau électrique fait l’objet d’un très fragile équilibre entre offre et demande. Quand celle-ci augmente, l’offre doit ainsi la suivre et vice-versa. Un exercice d’adaptation permanent des centrales de production est ainsi essentiel pour maintenir cet équilibre.
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2025-05-02 16:35:00