Le gouvernement arménien multiplie les démarches afin de trouver le meilleur partenaire pour la construction dune nouvelle centrale nucléaire, destinée à remplacer linstallation vieillissante de Metsamor.
Lors dune séance de questions-réponses au parlement, le Premier ministre Nikol Pashinyan a indiqué que des négociations sont en cours avec plusieurs pays.
Il a également précisé que les autorités ont déjà opté pour un réacteur modulaire de petite taille pour ce projet.
Les discussions portent actuellement sur le choix du partenaire avec lequel cette nouvelle centrale sera réalisée, un sujet stratégique pour lavenir énergétique du pays.
Cette initiative de lArménie sinscrit dans un contexte international marqué par la quête de sécurité énergétique et dindépendance vis-à-vis des sources traditionnelles.
Ce type de projet, sil devient une tendance dans la région, pourrait influencer les stratégies des entreprises du secteur de lénergie et les investisseurs de la Bourse de Casablanca.
Les sociétés marocaines, notamment celles spécialisées dans linfrastructure, lingénierie ou encore la production dénergie, pourraient être amenées à explorer de nouvelles opportunités de coopération ou dadaptation technologique.
De plus, laccélération de la transition vers des sources dénergie plus sûres et modernes dans divers pays pourrait renforcer lattractivité des groupes marocains opérant dans ces domaines sur le marché boursier local.
Les investisseurs et analystes surveilleront donc avec attention lévolution de ce dossier et ses éventuelles répercussions sur les orientations stratégiques du secteur énergétique au Maroc.
Pour plus de détails, visiter notre page instagram: @risk.maroc
