LIrak dispose de deux éléments essentiels pour développer une industrie solaire florissante.
Dune part, de vastes déserts permettant linstallation de panneaux solaires, dautre part, un ensoleillement particulièrement élevé tout au long de lannée.
Cependant, ce pays se distingue aussi comme le deuxième producteur de pétrole au sein de lOPEP.
Selon les données de Worldometer, lIrak se hisse au sixième rang mondial en matière de production pétrolière, avec 4,443 millions de barils extraits chaque jour.
Il occupe par ailleurs la cinquième position mondiale en termes de réserves, totalisant 143,069 milliards de barils, soit 8,67 pour cent de loffre mondiale.
Au rythme actuel de consommation, ces réserves permettraient à lIrak de continuer à exploiter son pétrole pour les 457 prochaines années.
Toutefois, cela na pas empêché le pays de sengager dans le développement de projets solaires afin de diversifier ses sources dénergie et danticiper une éventuelle transition énergétique.
Pour le marché financier de Casablanca, cette orientation de lIrak vers lénergie solaire représente un signal important.
Elle souligne la tendance globale observée sur les marchés internationaux, où de grands producteurs dhydrocarbures commencent à investir dans les énergies renouvelables.
Cette évolution peut renforcer lattrait des valeurs liées à la transition énergétique et impacter les stratégies des acteurs marocains du secteur de lénergie cotés à la Bourse de Casablanca.
Les sociétés opérant dans le domaine des technologies vertes ou de la fourniture dinfrastructures solaires pourraient voir un intérêt croissant des investisseurs, dans la mesure où le marché anticipe une accélération des projets similaires dans dautres pays producteurs, incluant potentiellement le Maroc.
Ainsi, les perspectives offertes par ce mouvement mondial peuvent stimuler la dynamique boursière à Casablanca, notamment dans les secteurs innovants et durables.
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