Le gouvernement du Guyana a annoncé quil réduira son recours à lemprunt extérieur pour financer les grands projets dinfrastructure.
Cette décision, présentée par le vice-président Bharrat Jagdeo lors dun point de presse, sexplique par la forte progression des recettes issues du secteur pétrolier et par la volonté croissante de pratiquer une gestion budgétaire plus rigoureuse.
Selon Bharrat Jagdeo, lafflux de nouveaux revenus rend désormais moins nécessaire le financement externe pour les projets de transport et dénergie.
Ainsi, les dépenses publiques à venir seront davantage corrélées aux ressources effectivement perçues.
Limpact de cette orientation sur la Bourse de Casablanca demeure indirect mais significatif.
En effet, une gestion plus autonome et prudente des finances publiques dans les économies émergentes comme celle du Guyana envoie un signal positif aux investisseurs internationaux quant à la stabilité financière globale du marché des pays émergents.
Cela peut contribuer à renforcer lintérêt pour les actifs cotés à Casablanca, en particulier ceux liés au secteur des infrastructures et de lénergie, dans un contexte où la recherche dopportunités sur des marchés disciplinés reste élevée.
De plus, la moindre dépendance aux emprunts extérieurs favorise la stabilité des taux dintérêt sur les marchés internationaux, ce qui peut indirectement profiter au financement des entreprises marocaines cotées et à lattractivité globale de la place casablancaise auprès des investisseurs étrangers.
Pour plus de détails, visiter notre page instagram: @risk.maroc
