Le 17 juillet, la Biélorussie a déconnecté la deuxième unité de sa centrale nucléaire dAstraïets suite à la détection par un système de contrôle dune anomalie dans le système de refroidissement auxiliaire du réacteur.
Le ministère de lÉnergie a précisé que lalerte sest produite en dehors du cœur du réacteur, qualifiant lévénement de situation courante ne présentant aucun risque pour la sûreté ni pour les niveaux de radiation selon les informations relayées par Reuters.
Daprès les déclarations officielles rapportées par Sputnik Belarus, le déclenchement automatique de la protection serait à lorigine de larrêt et une reprise de lexploitation est prévue prochainement.
Concernant lincidence sur la Bourse de Casablanca, lévénement apporte une illustration de la vigilance nécessaire dans la gestion du risque industriel, notamment dans le secteur énergétique.
Les investisseurs du marché marocain restent attentifs à ce type dactualités, car elles rappellent limportance de la sécurité des infrastructures ainsi que de la fiabilité des installations nucléaires pour la stabilité de lapprovisionnement énergétique international.
Si le marché casablancais nest pas en lien direct avec le nucléaire biélorusse, ces épisodes peuvent encourager une réflexion accrue sur la gestion du risque par les entreprises cotées, notamment dans les secteurs de lénergie et de lingénierie, et influencer de façon modérée la perception du secteur énergétique au Maroc en Bourse.
La stabilité opérationnelle et la transparence demeurent ainsi des critères majeurs pour asseoir la confiance des investisseurs sur la place casablancaise.
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