Le deuxième Sommet africain sur le climat sest tenu en septembre sous légide du gouvernement éthiopien et de lUnion africaine.
Cette initiative visait à faire progresser lagenda climatique du continent ainsi que les priorités en matière de développement durable, en préparation du sommet mondial sur le climat organisé par les Nations unies en novembre lors de la COP30.
Cet événement denvergure a réuni plus de 25 000 participants venus de toute lAfrique, parmi lesquels des responsables politiques, des jeunes, des membres de la société civile, des partenaires au développement ainsi que des représentants du secteur privé.
Les échanges ont porté sur la possibilité dadopter une position africaine unifiée face aux enjeux climatiques mondiaux, tout en fixant comme objectif la construction dune Afrique verte, prospère et résiliente face aux défis climatiques.
Limpact du sommet sur la Bourse de Casablanca se manifeste principalement à travers un regain dintérêt pour les entreprises actives dans les secteurs des énergies renouvelables, de lefficacité énergétique ou encore de la gestion durable des ressources.
Les investisseurs locaux et internationaux scrutent désormais avec plus dattention les sociétés cotées qui adoptent des stratégies alignées sur les thématiques environnementales et climatiques.
Cette dynamique pourrait à moyen terme se traduire par une hausse de la valorisation de certains titres et stimuler le développement dobligations vertes et dautres instruments financiers durables sur la place casablancaise.
Par ailleurs, la volonté de renforcer la coopération régionale et de promouvoir linnovation verte crée un climat propice à lémergence de nouveaux projets inscrits dans le cadre de la transition énergétique et du développement responsable au Maroc.
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