La pierre angulaire du retour de plusieurs grandes compagnies énergétiques occidentales en Irak a été le méga-projet en quatre volets de 27 milliards de dollars américains, finalement validé par TotalEnergies en 2023.
Ce projet vise principalement à résoudre deux problématiques majeures qui ont freiné le développement de l Irak durant des décennies.
Ces défis, souvent bloqués par la bureaucratie et la corruption à différents niveaux du pouvoir à Bagdad, ont ainsi trouvé une première amorce de solution.
L initiative pilotée par la société française offre en effet un cadre structurant pour l exploitation des ressources énergétiques irakiennes tout en encourageant l arrivée d autres acteurs internationaux.
Par ailleurs, ce projet devrait marquer un tournant dans la gestion des ressources pétrolières et gazières du pays.
L impact de cette dynamique se ressent également sur la Bourse de Casablanca.
Les entreprises marocaines du secteur de l énergie et des matériaux de base restent attentives à cette évolution, car une reprise des investissements mondiaux dans l énergie bénéficie à l attractivité de ces valeurs au Maroc.
La normalisation de la présence occidentale en Irak pourrait aussi peser sur les prix du pétrole à l échelle internationale, influençant la valorisation des sociétés cotées à Casablanca qui dépendent des importations de produits énergétiques.
Par ailleurs, cette tendance encourage les acteurs institutionnels et les investisseurs à surveiller de près les secteurs liés à l énergie et à la logistique, en vue de nouvelles opportunités sur le marché boursier marocain.
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