Une équipe de chercheurs basée en Chine utilise lintelligence artificielle pour redonner une seconde vie aux anciennes batteries de véhicules électriques.
Lobjectif est de prolonger la durée de vie des batteries lithium-ion, un enjeu stratégique pour rendre les voitures électriques plus durables et plus économiques à long terme.
Cette initiative pourrait également contribuer à freiner la demande croissante en lithium et à réduire laccumulation de minéraux critiques et toxiques dans les décharges.
Les scientifiques travaillent à identifier une molécule capable de réintroduire des ions lithium dans des cellules jugées inactives, restaurant ainsi leur capacité énergétique initiale.
Au lieu de remplacer systématiquement les batteries usées, cette technologie permettrait de recycler les composants existants, réduisant ainsi les coûts de production et lempreinte environnementale du secteur automobile.
Cette avancée est particulièrement pertinente à léchelle mondiale mais trouve aussi un écho local sur la Bourse de Casablanca.
Les sociétés marocaines impliquées dans la chaîne de valeur des énergies renouvelables, notamment celles spécialisées dans le recyclage électronique ou dans la gestion des déchets industriels, pourraient tirer parti de cette innovation.
De plus, cette technologie influencera les perspectives des entreprises qui envisagent dentrer sur le marché des véhicules électriques ou dans les infrastructures de stockage dénergie.
À moyen terme, une évolution positive de ce type de recherche pourrait alimenter la performance boursière de certaines sociétés cotées à Casablanca, notamment celles actives dans les secteurs des matériaux, de la technologie verte ou du transport électrique.
Les investisseurs institutionnels porteront probablement une attention renforcée aux opportunités offertes par cette nouvelle orientation industrielle, tant au niveau national quinternational.
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